Féminisé transformé en prostituée

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il y a 4 ans

Les confessions érotiques d’un soumis utilisé comme pour le plus vieux métier du monde

J'attends dans cette chambre de motel, depuis qu'au téléphone mon Maître, m'a prévenu de son arrivée et de celle de Maîtresse. C'était il y a 20 minutes. Auparavant j'ai mis un temps interminable à trouver l'hôtel, perdu au bout d'une rue, derrière une zone commerciale. J'ai pris possession de ma chambre rapidement et me suis mis en demeure de devenir Carole.

Cela fait deux mois que je n'ai plus eu de contact avec mes Maîtres, et j'ai laissé ma masculinité reprendre à nouveau le dessus. Je dois donc me raser les fesses le sexe le ventre et surtout mes tétons. Je sais que mes Maîtres ont une attirance particulière pour eux. J'aimerais qu'ils soient encore plus gros, plus longs, plus sensibles.

Je me maquille, je sens la transformation s'opérer : mon corps, ma posture se féminisent. Je m'aime ainsi, je me sens tellement MOI. Une fois préparée, j'attends leur venue, assise sur le bord du lit, regardant distraitement la télé.

Une ou deux fois j'ai cru les entendre, et je suis sortie sur le pallier. A peine vêtue, j'ai senti la morsure du froid, et aussi la délicieuse sensation d'être livrée aux regards de tous. Mais déçue, j'ai dû rentrer et attendre à nouveau, dans un mélange d'excitation et d'angoisse. La peur qu'ils ne viennent pas, qu'ils se lassent.

Mais c'est le moment :On a frappé à la porte. Je me lève et dans l'encadrement je découvre Maîtresse, qui me sourit. Maître la suit, portant un sac à dos. Il y a beaucoup d'émotion dans ces retrouvailles, au delà du simple plaisir d'une nouvelle séance, je perçois dans la conversation qui s'installe beaucoup de tendresse et de sollicitude à mon endroit. Nous sommes assis et je leur raconte les deux mois qui m'ont tenus éloignés d'eux, en buvant une flûte de vin. C'est très nouveau pour moi, une relation de soumission qui ne soit pas seulement basée sur des rapports durs et distants.

Cela m'émeut.

Après une demi heure, Maîtresse me signifie que nous allons commencer. Elle examine mon visage, détaille mon maquillage, puis fait l'inventaire de ce que je porte. J'en ai assez de ma tenue, mais jusqu'ici je n`ai pas eu le temps de la renouveler, empêtré que je suis dans un conflit familial interminable. Ils me demandent de m'allonger sur le lit, passent autour de ma tête un masque. Je suis privé de repères, allongée, mon pouls et ma respiration s'accélèrent. Je sens alors leurs mains me caresser le corps, et on dégage mes tétons puis on les caresse et les suce. Je sens les lèvres de Maître.

Je caresse ses cheveux, une infinie tendresse me traverse, et une vague d'émotion me submerge. En cet instant précis, je les aime plus que tout. Maîtresse me fait ensuite marcher, me déhancher, prendre des poses, jouer avec mes seins et mes fesses, Maître prends des photos, et puis je m'agenouille aux pieds de Maîtresse, et elle me présente ses pieds.

Ils sont si petits, si délicats, si incroyablement fragiles et beaux.

Présentés comme dans un écrin dans des chaussures à hauts talons et bouts effilés.

Je les suce, les lèche, les caresse l'un après l'autre, comme s'il s'agissait de deux sexes, je les prends au plus profond de ma bouche, je ferme les yeux, je respire leur odeur de cuir neuf, je respire l'odeur de Maîtresse ; elle m'envoûte, me grise, je chancelle de plaisir. Mais elle me retire ses pieds que j'avais libérés des escarpins, et longuement massés au travers de la fine et sensuelle étoffe des bas. Je m'allonge sur le lit, sur le ventre. Je sens la badine puis les lanières du martinet imprimer à ma peau les marques de ma soumission.

Je devine que mes fesses, à la chaleur grandissante que je ressens, commencent à prendre des couleurs. J'en suis satisfait, j'aime ressentir la douleur cuisante du fouet sur ma peau, j'aime imaginer le geste de Maîtresse, ses efforts appuyés, peut être une lueur de cruauté dans son regard, et un sourire sur ses lèvres, à mesure que mon corps se plie à son travail.

Maître à son tour s'allonge, et je m'accroupis entre ses jambes pour saisir sa Queue à travers son slip. Je la caresse tout d'abord, je la sens frémir, et déformer l'étoffe, puis je la tire et la dégage, je l'ai dans ma main, encore souple, soyeuse, abandonnée. Moment d'ivresse quand je la prends enfin en bouche, comme si j'étais assoiffée, ou plutôt comme une camée en manque se jetterait sur sa dose...

Et je l'avale, et je la suce, j'en titille le gland, m'insinue dans le méat. J'aime son goût, j'aime sa consistance. J'aurais envie que ça ne finisse jamais. Je ronronne, je gémis de plaisir. Mais une fois de plus mes Maîtres me tirent de mon extase pour un nouveau jeu.

A leur demande j'exécute un strip tease, je me déhanche au rythme d'un blues imaginaire, et joue de mon corps et de mes sous-vêtements comme une effeuilleuse professionnelle. Je leur présente mon cul et me pénètre la chatte avec un plug. J'ai tellement honte de faire ça devant eux et en même j'éprouve une grande fierté à leur donner du plaisir. Une fois nue, ne gardant que mes bas, je m'allonge à nouveau sur le lit, et Maître me prend, dans ma chatte, tout en jouant avec mes seins. Je sens sa Queue en moi, j'ai les cuisses repliée sur mon ventre, et mon cul très haut est offert à ses assauts.

Il me pénètre profondément, et je resserre les muscles de ma chatte autour de son membre ; c'est une sensation étrange et fantastique. Je lui murmure des mots d'amour comme jamais je ne l'ai fait pour un homme. J'imagine que Maîtresse nous regarde. Que pense-t-elle de tout ça? Est-elle amusée, intriguée, excitée par ce spectacle? Cette ignorance décuple ma jouissance.

Mais bientôt Maître se retire et cède la place à la cinglante morsure du martinet. Je me caresse en même temps. J'aimerais que ça ne s'arrête jamais.

J'aurais envie de crier, « allez-y Maîtresse imprimez votre sceau sur mon corps, il vous appartient, marquez le, que tout le monde sache ce que je suis : votre putain ! ». Mais elle s'arrête et après quelques instants, de sa veste entrouverte, elle me présente ses seins parfaits. Elle est penchée au dessus de moi, et lentement descendent vers mes lèvres et ma langue ses mamelons, j'ai envie qu'ils durcissent et s'enflent sous le plaisir que je veux donner. C'est un moment indicible, presque religieux, silencieux : un moment de recueillement, quasiment

mystique...

Le culte des seins de Maîtresse...

Le reste n'a plus beaucoup d'importance, d'ailleurs une dizaine de minutes plus tard, ils m'ont laissée, je me sens terriblement seule. Seule, pantelante et reconnaissante.

J'arrive à l'hôtel à 16h après avoir subi la traversée complète de Marseille. De souvenirs me remontent à la mémoire en reconnaissant ici et là des lieux de mon e n f a n c e . J'obtiens mon code d'entrée et trouve rapidement ma chambre. Je n'avais jamais encore fréquenté un formule 1. C'est pour le moins spartiate ! la chambre m'offre une surface totale d'une dizaine de mètres carrés, largement occupés par un grand lit curieusement surmonté d'une sorte de lit gigogne. dans un angle, un lavabo permet quelques ablutions, dans l'autre, une tablette surmontée d'un récepteur de télévision complète l'équipement.

Ca ne laisse qu'un tout petit espace pour se déplacer. Il fait très chaud. après le confort climatisé de la voiture, et un léger stress aidant, je me sens confiné et mal à l'aise.

Heureusement, je dois m'activer car je dois me doucher et le lavementer avant que mon Maître arrive.

Je défais la valise que j'ai amenée et tente d'extraire du désordre, les vêtements et objets de ma future soumission. je file me doucher, et avec une grosse seringue que j'ai prévue à cet effet, je m'administre un lavement, que je restitue quelques minutes plus tard aux toilettes. J'espère que ce sera suffisant : les conditions sont précaires et le temps m'est compté.

A mon retour dans la chambre, je reçois un appel de mon Maître. Je lui donne le code d'accès à la chambre. Il sera là dans quelques minutes. Je n'ai que le temps de m'introduire un plug dans l'anus et me mettre en position.

On pousse la porte.

Ma tête est baissée, je ne vois pour l'instant que ses jambes. Il fait quelques pas. Je me déplace vers lui et lèche et embrasse chacune de ses chaussures. Ce sont des mocassins de cuir noir fermés par une boucle. Je n'ai pas vu son visage encore, Il me permet de le regarder trois secondes. Il se tient devant moi, un léger sourire éclaire son visage d'a d o l e s c e n t . Il me demande alors de me retourner, toujours à quatre pattes, vers la porte d'entrée. Durant de longues minutes je l'entends fouiller dans des sacs. Je ne sais pas ce qu'il fait, ce qu'il prépare.

Au bout d'un moment je dois me retourner, je remarque qu'une caméra est présente, et que près du lavabo plusieurs godes dont un muni d’un harnais sont disposés. Maître me bande les yeux, et il commence par explorer mon corps, il vérifie ma chatte, puis mes tétons, il les trouve beaux, cela m'excite. Il me fait remarquer que mon clitoris de lope n'est pas dur. Je lui dit que c'est souvent le cas, qu'en tant que lope je bande difficilement, et que ce pourrait être un souvenir du dressage de ma première maîtresse qui détestait que je bande.

Il s'allonge sur le lit et me demande de l'exciter, j'essaie de donner plus de lascivité à mes mouvements, de gémir, de mouiller mes lèvres. je m'occupe de ses pieds, je suce chacun de ses orteils, parviens à les mettre tous dans ma bouche, et je les suce comme si c'était sa queue. lorsque je suis sur le dos, et puis plus tard quand j'ai trop chaud, il laisse couler de la salive sur mon corps et mon visage et, remplissant d'eau sa bouche, en laisse couler dans la mienne.

Nous nous retrouvons enlacés sur le lit, nos visages sont en contact je sens ses lèvre et j'ai envie d'elles, c'est la première fois que j'embrasse un homme, cela m'excite : encore un tabou qui tombe, je me sens tellement pute tellement femelle.

Il me mord cruellement les lèvres les lobes de mes oreilles, et mes tétons aussi. Je suis un jouet entre ses mains viriles. Je me sens si fragile, je suis sa chose, je lui appartiens, je l'aime, je ferais le tapin sur le trottoir pour lui...

Un peu après 5h30, on appelle sur mon téléphone portable : C'est Maîtresse, qui demande si Monsieur est là. Ce dernier va la chercher. Mais avant il me confisque mes affaires d'hommes. Ainsi je suis coincé dans cette chambre. De toute façon je n'ai aucune intention de partir, mais j'aime cette idée d'être à leur merci.. et s'ils ne revenaient pas ? Je profite de ces moments pour "me rafraîchir" , je désire être présentable devant Maîtresse. J'essuie la sueur qui perle sur mon corps et j'ouvre la fenêtre pour aérer. Je me mets à 4 pattes pour les attendre.

Finalement : un bruit de porte, Maître rentre et m'indique que Maîtresse prend une douche et qu'elle sera là bientôt. En attendant il joue avec ma chatte, avec mes tétons, il les complimente, ajoute que mes tétons devraient être plus gros encore. Il m'invite à me regarder dans la glace, dit que c'est comme ça qu'il me veut : femelle et pute.

Maîtresse rentre. Je suis de nouveau à quatre pattes, ma consigne est de ne pas la regarder. mon visage est baissé, je ne vois que ses jambes halées chaussées de sandalettes d'été noires à fines lanières de cuir. Elle parle, sa voix est sèche.

"je suis très mécontente de toi, soumis"..

Je sais quelle en est la raison, je n'ai pas envoyé sur leur émail les passages de mon journal qui se rapportent à notre relation. je lui demande de me pardonner, mais cela ne l'apaise pas.

Elle se présente devant moi, je dois lever la tête afin qu'elle examine mon visage, je ne dois pas la regarder. elle s'assieds sur le lit et me présente ses pieds. Un torrent d'émotions s'empare de moi, me submerge. Je suis accroupi à ses pieds, je les saisis et les caresse, comme deux chatons fragiles, délicatement, je les lèche.

Je m'occupe de ses orteils, puis de ses sandalettes, je nettoie consciencieusement leur semelle. je me sens bien, à ma place, je tente d'enregistrer ces moments intenses : La situation, et puis les odeurs, la fragrance enivrante des pieds de Maîtresse, celle plus fauve du cuir des sandalettes. Elle m'encourage tandis que Maître filme la scène et prend quelques clichés

Maître m'invite ensuite à m'agenouiller au bord du lit. Il me donne une feuille dactylographiée. C'est un serment d'allégeance dans lequel, nommément, je déclare désirer leur appartenir, corps et âme. Je dois lire puis dire à haute voix le texte du serment.

On me passe le foulard de nouveau et Maîtresse décide d'explorer mon corps à son tour. Mes Maîtres dialoguent entre eux et on dirait deux maquignons qui estiment la valeur d'une bête, je suis à quatre pattes, elle me tâte, m'explore, me touche, me pétrit. Puis je passe sur le dos, elle s'attarde sur mes tétons tandis que Maître caresse mon corps avec les lanières de son martinet. mon vente se creuse, mes seins ressortent, ma respiration s'accélère, Maîtresse demande que je me caresse, que je gémisse. Je suis totalement dans mon univers, je suis la Femelle, je ne joue plus un rôle.

Maîtresses m'ordonne de déshabiller Maître, je défaits ses vêtements lentement,"honore le corps de ton Maître" m'intime Maîtresse. Je le caresse en même temps que je le dévêts, et bientôt il ne porte plus que son slip. un slip très soyeux au travers duquel je peux caresser son sexe. puis je dois me lever, on m'a ôté mon bandeau.

Maîtresse est debout devant moi, je suis à genoux. elle me demande de la déshabiller. Moment intense, toutes les maîtresses ne désirent pas que leur soumis touchent leur corps, de même que la nudité devant un esclave leur répugne. J'hésite donc, puis je dézippe sa courte jupe grise, je la fais glisser doucement à ses pieds, je dois faire plus particulièrement attention au passage des hanches, elle a un mouvement charmant pour m aider. je ne sais que faire, dois je aussi ôter sa culotte? Non, elle me demande de continuer en lui ôtant son débardeur ; timidement je le remonte. Elle lève les bras et je le fais glisser par le haut en faisant attention de ne pas la décoiffer. Elle se tient devant moi ; elle est belle, sa peau est mate et halée, ses proportions sont parfaites. Et simplement vêtue de ses sous vêtements, elle conserve une dignité qui atise mon admiration. Maître filme la scène.

Maîtresse me demande de lui montrer quels sont les vêtements que j'ai apportés, je les lui montre. Elle prend un moment pour faire son choix. Puis elle indique à Maître qu'elle va me préparer pour que je sois la pute qui l'excitera. Maître est allongé sur le lit. Je suis assis au bord et Maîtresse s'installe devant moi avec des éléments de ma trousse à maquillage. En petite touches rapides et précises, elle me transforme. je sens presque physiquement dans ma chair cette métamorphose, Elle n'a plus le ton sévère de son arrivée; alors qu'elle farde mon visage, nous devisons, comme deux amies, je lui confie mes angoisses mes craintes.

Des petits riens que deux femmes pourraient s'échanger? Je goûte avec plaisir cet instant précieux, point d'orgue dans la frénésie de note rencontre. Maître demande que je passe les vêtements choisis par Maîtresse en me dissimulant derrière un paravent. Il désire en avoir la surprise.

Finalement je suis prête, Maîtresse me complimente, "elle est superbe", Maître me regarde et confirme: "Oui, c'est une très belle pute, mais saura-t-elle marcher ?" Il me demande de faire quelques pas, je ne m'en sors pas si mal, mais je ne balance pas assez les hanches "tu n'as pas au patronage" me précise Maîtresse, vas-y, déhanche toi, cambre toi, fais ressortir ta poitrine, remonte le menton, n'oublie pas : Tu es une putain.

Je m'exerce avec des bonheurs divers, améliorant à mesure ma posture jusqu'à obtenir l'approbation de Maîtresse. Elle me demande d'exciter mon Maître. Comme une pute racolant un client, je l'apostrophe, "tu viens chéri?" "Tu montes"?.

Il est allongé sur le lit ; je m'approche de lui, j'ondule de la croupe, je me passe la langue sur mes lèvres, je caresse mes seins. Je sors son sexe de son slip. je l'admire, le caresse, je le prends dans ma bouche et le suce goulûment, Maîtresse m'encourage, "vas y, tu es une pute, montre ce que tu sais faire", je m'active, le sexe de Maître dans ma bouche, dommage il a un préservatif, ça me prive de 90 pour cent des sensations. Et ce goût de caoutchouc dans la bouche, alors que sa queue doit avoir un goût, une odeur de mâle. J'aimerais l'avoir tout au fond de moi, qu'il me remplisse, j'aimerais qu'il éjacule, qu'il explose dans ma gorge, avoir la bouche pleine de lui. En même temps, il introduit un doigt dans ma chatte, il me murmure des paroles d'encouragement, j'oublie où je suis, qui je suis, j'oublie que Maîtresse regarde et filme, Je me laisse aller, je me sens femelle. J'ai envie de lui donner du plaisir, je le sens en moi, dans ma chatte, il enfonce le gode, j'ai mal et me cambre, mais je suis si heureuse de lui donner du plaisir.

"Ca suffit!" j'entends la voix de Maîtresse.

Je reste quelques instants, allongée, abandonnée, perlant de sueur, dolente et essoufflée pendant que Maître se lève. Maîtresse se tient debout. Entre temps je me "repoudre le nez" : mon étreinte avec Maître a emmêlé ma perruque, je n'ai plus de rouge à lèvres. Je m'agenouille aux pieds de Maîtresse, elle me demande d'ôter sa culotte avec mes dents.

t un instant magique, merveilleusement érotique, Maître est derrière moi, qui presse son sexe contre ma chatte. J'arrive à baisser la culotte le long de ses hanches, de ses cuisses jusqu'à ses chevilles.

Je ne sais pourquoi à cet instant j'ai l'image de ce tableau représentant Aphrodite sortant de l'onde : Pureté, beauté, innocence, fragilité. Elle dégage ses pieds de cette frêle entrave, je l'aide avec dévotion. Devant mes yeux éblouis, il y a Sa Chatte, une vraie chatte de femme, pas un ersatz comme la mienne. ses cuisses sont serrées, et elle est en grande partie rasée, on dirait un petit abricot duveteux d'e n f a n t . elle se tourne.

Mon Dieu, ses hanches, ses fesses rondes et pleines... Elle me donne son soutien gorge à défaire en me présentant son dos. Je m'exécute. l'instant est plein de grâce. Il y a de la pudeur et beaucoup de simplicité dans les gestes de Maîtresse. Elle est nue maintenant et elle me présente sa vulve à lécher. Maître me pénètre dans ma chatte et joue avec mes seins ce qui rend difficile l'opération. j'ai la tête trop défléchie, je ne parviens pas à la lécher correctement. Elle s'en plaint, me demande de m'y prendre mieux.

Finalement elle s'allonge sur le lit et je m'installe de manière à honorer sa féminité, répondant à ses injonctions. Elle me présente également son anus à lécher. Le goût en plus fauve, j aimerais la nettoyer indéfiniment je n'ai aucune honte, au contraire, une grande fierté m'envahit. Un train d'émotions déboule en moi : Plaisir, excitation, désir de la satisfaire, de lui procurer tout le plaisir possible. Je me noie je m'abandonne son odeur, son goût, m'emplissent et me submergent.

"Assez!" m'enjoint-elle abruptement."Occupe-toi de ton Maître à présent". Je le suce à nouveau, avidement, comme on userai d'une gourmandise, un sucre d'orge d'amour. Il me presse, m'encourage, m'apostrophe, s'impatiente, et je sens soudain la douce morsure du martinet: Maîtresse est en colère, elle m'ordonne de mettre plus d'ardeur, plus d'entrain, plus de cour à l'ouvrage. Elle me flagelle, doucement d'abord, puis de manière plus intensive, les fesses et l'anus.

Cela m'excite. Je ne la vois pas, mais je l'imagine. Je la supplie de porter ses coups avec plus de rudesses, de marquer ma peau. je désire porter une marque de mes Maître Je désire leur appartenir, totalement. Puis la morsure du fouet cesse, et j'entends, alors que je continue à honorer mon Maître, que Maîtresse remue des objets. Quelques instants plus tard, elle me tire par les chevilles vers le pied du lit, m'ordonne de cambrer mon cul.

Je la sens s'introduire en moi. Elle porte un gode-ceinture. D'un coup de rein, elle est tout au fond de moi. Je sens son sexe dans mon ventre, elle me dilate et me remplit, et une douleur fulgurante embrase mon bas ventre quand son priape bute au plus profond de moi.

Elle pousse un râle vainqueur : Elle me possède, elle m'encule. Elle dit "tu vois, la queue de ta Maîtresse te pénètre".

Elle exulte laisse éclater son plaisir et sa joie. Mon esprit chavire. Je les sers pas tous mes trous. Mon corps, mon esprit leur appartiennent dans sa totalité.

Avant de conclure, Maîtresse me demande de me masturber à genoux devant elle, Maître, allongé près de moi, se masturbe également. je suis comme en transe, je me branle frénétiquement et pour accroître mes sensations supplie Maîtresse de m'autoriser à mettre des pinces à mes tétons. Je n'ose lui demander, mais j'aimerais qu'elle me fouette tandis que je me caresse ainsi.. une éternité de bonheur s'écoule avant que Maîtresse ne me demande d'arrêter.

Je suis épuisée, en sueur, haletante. Je suis incroyablement bien, heureuse, comblée vidée et angoissée à l'idée de ne les avoir pas satisfaits pleinement. J'ai le désir de leur appartenir encore et encore.

Vers 8h30, Ils partent. Cette minuscule cellule me parait maintenant trop grande, tant le vide qu'ils laissent me pèse déjà.

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